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cours du 17/02/14

 

-Présents: 17

-Thème: Enchainement de techniques doublées puis triplées, enfin Kaeshi waza

-Déroulement; Révision de 5 techniques basiques sur Yokomen: Shio nage, kote gaeshi, Irimi-nage, Ikkyo, Ude kime nage… Puis présentation du travail de mixage de deux techniques pour Tori. Combinaisons imposées. Puis combinaisons libres. Ensuite trois techniques de suite avant de projeter. On souligne là, le principe du « RI AÏ »

Consignes et remarques; 1°) attention sous Yokomen > trop de phénomènes « d’essuis-glaces » (On brasse avec les bras » avant de bouger son corps) > Il faut laisser plus longtemps sa tête libre en cible et n’agir avec les bras qu’au dernier moment.

2°) garder toute la surface des pieds en contact avec le sol. Un peu à l’image de fers à repasser. Mais aussi en référence aux Sumotoris.

3°) Eviter d’aller chercher l’inspiration en regardant dans le sol mais plutôt, en se redressant, vigilant, (penser au périscope). Pour bien voir, le sous-marin tire son mat le plus vertical et d’aplomb possible afin de surveiller la surface.

4°) lors de l’inter technique, surtout ne pas arrêter le mouvement mais bien au contraire varier le rythme afin qu’Uke ne puisse bloquer ni contrarier le projet.

PAUSE

Présentation des Kaeshi-waza (techniques de contre). En fait, Uke devient Tori au moment le plus propice. En attendant l’éventuelle faille dans le rythme ou la distance, Uke prend le dessus de la technique pour placer la sienne.

Dans ce genre d’exercices, on doit la plupart du temps improviser et ne pas partir sur une technique définie à l’avance… car il faut adapter une nouvelle technique sur la fin de celle choisie par le partenaire…

Puis Kaeshi waza à l’infini (seulement stoppé par l’ordre de l’enseignant). En 3 minutes d’échanges, une bonne dizaine (au minimum) de techniques peuvent être placées…

Conclusion; ce genre de pratique permet de devenir autonome par rapport à un entrainement traditionnel, de rechercher à placer des techniques parfois oubliées ou peu utilisées, Accroit l’acuité, l’observation de son partenaire. Cela permet de nouvelles sensations; «certains neurones s’entrechoquent et se rencontrent pour la première fois »… Les règles habituelles et la routine se retrouvent entièrement bousculés. Le terme de « partenaires » prend là sa réelle signification. On créé à 2 un mouvement, des mouvements sans rivalité aucune.

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