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Cours du 27/10/11

-Présents:          15
-Thème:             Buki-waza (Tanto) et Kote gaeshi
-Déroulement:  Apprentissage d’un kata de Yoseikan-budo (créateur:Mochizuki senseî élève direct d’ O senseï Ueshiba)contenant les 8 frappes au couteau. Kata exécuté des deux mains en exagérant l’implication et la libération des hanches (recherche de fluidité dans les enchaînements). Chaque fin de frappes étant le début de la suivante. Frappes avec ouvertures de pleine amplitude. Puis au final, kata exécuté avec frappes réelles (toute puissance et  amplitude maximum) de manière à entrer pleinement dans le rôle d’un Uke déterminé, engagé, pugnace, puissant… fournisseur principal de l’NRJ nécessaire à toutes techniques.
Sensibilisation sur les deux positions de prise d’un Tanto:
« HONTE »: Tranchant vers soi, « GYAKUTE » :Tranchant vers Tori.
Travail d’esquives sur frappes shomen utchi au Tanto. Esquives conventionnelles et non pas évitements en sautillant. Prendre conscience qu’il faille éviter à tout prix les sautillements et importance de déplacer tout le corps (des pieds à la tête) sans laisser les bras balants.
Puis Tsuki chudan/ Kote-gaeshi version courte, puis version longue. Courte: on va créer une dépression entre Tori et Uke derrière le pied de ce dernier. Longue: on va faire un grand Taï-sabaki afin de se retrouver dos à dos et menacer flanc (cette fameuse fessée « pédagogique » de revers) pour poursuivre le déséquilibre de Uke.  Dans chacune des versions, on doit chercher à gérer les vides, l’espace autour d’Uke plutôt que de se focaliser sur son poignet armé. Paradoxalement, le but n’est pas de « tordre le poignet », mais de bousculer le centre d’Uke. La posture droite, la gestion du vide et du timing ainsi que le placement du regard jouent dans l’efficacité de Kote Gaeshi.
Révision rapide du travail de la semaine: Shomen /irimi-nage, Yokomen/Shio-nage, et enfin Tsuki/Kote-gaeshi. Puis Uke frappe de façon aléatoire, Tori doit trouver la technique idéale parmi les 3 techniques proposées ce soir.

-Conseils: Prise de conscience ce soir qu’on peut (on devrait, pour commencer,,,) appréhender une technique pour la 1ère fois de façon scolaire, très structurée afin de découvrir chaque étapes. Mais aussi et rapidement, la travailler de façon intuitive et spontanée, non réfléchie, plus réflexe…
Lorsqu’on débute, on est centré sur soi. C’est normal. On découvre son corps, ses interactions par rapport à une nouvelle technique à intégrer Mais rapidement, le gradé doit se mettre à la place d’Uke. Se dire, « garde t il al pression? »,  « que lui fais je ressentir là? »,  « Où vais je l’entrainer? », « quelle est l’intensité de son énergie? » , « où est placée son intention? » dès lors qu’il aura intégré la technique elle même.

Rappels: Sur le comportement sur le tatami.
>> Lorsqu’on se retrouve à trois, d’un accord tacite, soit l’un des Uke reste assis en seiza près des murs pour ne pas constituer un obstacle dangereux sur le tapis, soit on alterne les attaques tel un randori.
>> Lorsqu’on n’a pas compris une technique, il suffit de capter l’attention de l’enseignant en saluant et non en le hélant ou l’appelant. Dès lors de l’explication personnalisée, on se met en seïza. Si un ou plusieurs couples alentours ne comprennent pas eux-mêmes, ils bénéficient des conseils en se positionnant spontanément eux-mêmes en seïza. Ceci évite les redites, et de solliciter l’enseignant pour toujours les mêmes détails. Ce processus suivi dans toutes les salles d’ Aïkido au monde,  participe à la sérénité du dôjô

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