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Le sabre

Le Shinken qui est le même sabre tranchant sauf qu’il a été forgé par des spécialistes contemporains. Il permet, comme avec un katana, la pratique du Batto-jutsu (coupe faisant suite à un kata) et du Tameshigiri (coupe directe sans kata).

Le Iaï-to qui est la reproduction non tranchante pour l’entrainement.

Le Ken ou Boken qui est le sabre en bois de même taille, et sensiblement de même poids. On simulera toujours la présence d’un fourreau (saya).

Le Shinaï sabre constitué lui, de 4 lames de bambous spécialement pour la pratique du Kendo afin d’amortir le choc malgré l’armure.

Le Shambara, ou sabre en mousse qui permet le contact avec un simple casque de protection.

Afin de placer les différents arts se rapportant à la pratique du sabre et pour être très schématique on peut les placer selon la phase du combat où l’on se trouve avec son partenaire (adversaire):

Le Kendo (escrime japonaise) : le sabre est sorti. Le combat est en action. Il s’agit d’un sport martial à compétition. on cherche le vainqueur. Nota: Il s’agit d’un sport scolaire encore de nos jours au Japon. Les policiers japonais doivent être 3e dan soit de Judo, soit de Kendo. Bien que les arts martiaux soient en déclins sur la péninsule au profit du base-ball, golf ou autres sports occidentaux, le kendo, le Kyudo, le sumo restent encore populaires.

Le Ken-jutsu; Les sabres sont sortis. Il s’agit de duels au Ken orchestrés par des katas exécutés à vitesses réels. A tel point qu’on puisse croire à de combats libres. Plusieurs écoles ont créée leur style. En Aïkibudo on suit l’école Katori-Shinto-ryu. A Nogent, où lorsqu’on pratique le ken-jutsu: celle de Christian TISSIER, l’école Kashima-Shin-ryu (où l’on peut ressentir la même clémence que dans la pratique Aïkido vis à vis du partenaire).

Le Tameshigiri et le Batto-do: coupe au sabre sur des rouleaux de paille. On s’exerce donc au contact avec de sabres réels mais sans vis à vis.

L’Aïkido: le sabre reste au fourreau ou est imaginaire. En fait tout l’art consiste à ne pas se servir de l’arme. Mais elle reste là en menace. C’est le moteur, ce qui motive Uke à saisir les poignets: neutraliser les bras afin que Tori ne puisse dégainer. Le véritable Aïkidoka doit être capable de ne pas se servir de son sabre… c’est l’art martial pacifique par excellence.

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